Squattage d'un faux malade.

Atios avait encore feint l'envie de vomir devant ses camarades de classe. Tout ca, manier une arme, devenir un élève de Shibusen, tuer des démons et nourrir une démon weapon, ca le saoulait profondément. Atios préférait bouffer et faire la sieste que s'emmerdait avec des mochetés. Il préfèrait l'infirmière, qui était vraiment canon, même si au fond de lui, il se sentait mal à l'aise. Qu'importe, tant qu'il était loin de Stein. Ce fou serait capable de l'inciser juste car Atios séchait les cours. Et c'est là que sa démon weapon aurait était utile... juste se défendre contre ce malade mentale avec une vis planté dans la tête. Atios souffla sur une de ses mèches rebelle de façon assez classouillette avant de perdre toute les couleur de son visage et de rentrer dans l'infirmerie. Vu comme ca, il avait l'air malade. Mais Atios, à l'intérieur de lui-même était plutôt intéressée par la poitrine de l'infirmière~~. Certes inexistante, elle en avait quand même et puis elle avait une jolie face. Mais elle était trop space pour qu'Atios puisse penser à elle. De toute façon Atios se trouvait entourer de fille plate. Et puis l'infirmière avait quelque chose de malsain. Mais bon, elle lui permettait de secher les cours, alors soit. Néanmoins, quelque amis à lui l'avait prévenu que Stein n'hésiterai pas à le ramener par la peau du cul. Atios avait déjà prévu de pousser l'infirmière sur Stein pour se carrapater sur les toits et faire le mec qui à rien de mieux à foutre que dormir dessus. Et puis, même s'il se faisait choper, tanpis, il avait pour envie de devenir fort, resterait plus qu'à trouver comment faire en sorte que ce fou l'entraine. Ce qui semblait impossible. Et puis vaut mieux être faible, comme ca y à moins de truc à faire. Jouer le héros, c'est trop chiant et fatiguant. Atios éspérait simplement ne pas devoir combattre vraiment et risquer sa vie, car il devait la passer à rien foutre, et c'est pas des sorcières ou des démons géant qui l'empêcherai de faire ca, non mais oh. Et même si il était en echec scolaire parce qu'il en foutait pas une, c'était pas grave, fallait juste assurer l'jour de l'exam, et puis si y à un contrôle continu, même si ca lui pelait le cul façon pot de nutella dans les mains d'une fille, eh bien tanpis, il se le bougerait. C'est pas la gloire qui l'intéressait, ca se voyait juste en voyant son âme au repos. Un truc immobile qui fait la geule sauf quand ca dors ou ca bouffe. On l'avait jamais foutu en colère de sa vie, faut croire qu'on l'a jamais empêcher de crêcher quelque part, le bougre.

- Pardon, m'dame l'infirmière, mais j'ai envie de gerber. venait-il de dire en la regardant d'un air faussement malade qui était quand même bien réaliste.

L'infirmerie était plutôt tranquille aujourd'hui, les élèves étaient en cours, le personnel de l'école occupés à leurs activités respectives ... Même Death Scythe n'était pas venu pour coller aux baskets de l'infirmière locale, une jeune femme dénommée Médusa. Cette dernière était assise au petit bureau de la pièce, gribouillant au stylo noir sur une carte de l'école. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien être en train de faire? Qui sait, dans cette école, on peut s'attendre à tout. Comme toujours, l'âme de l'infirmière était tout ce qui a de plus humain : Le jour J n'était pas encore arrivé. Bref, c'est en entendant des bruits de pas hors de l'infirmerie dont la porte était fermée qu'elle rangea sa carte dans un des nombreux tiroirs du meuble, fermé à clé. Faisant pivoter son siège, Médusa se contenta de sourire, regardant qui pouvait bien être le nouvel arrivant. Un élève, d'après sa voix et son apparence, un élève aux courts cheveu bruns, tirant sur le noir. Rien ne lui disait qu'il n'était pas en train de sécher les cours, mais il semblait véritablement malade. D'après ses dires, il avait envie de vomir, et si il était là, c'était probablement parce qu'il avait l'air assez malade pour que ses camarades de classe y croient. Bof, après tout, avec ces sales gosses, on peut s'attendre à tout. Oui, Médusa les détestait tous autant, et n'aimait pas vraiment être en leur compagnie, mais ne le laissait, encore là, jamais paraître. Enfin, elle devait tenir bon, elle devait à tout prix tester tout par elle-même, et non envoyer un de ses nombreux sbires faire l'expérience à sa place. Aux yeux de l'infirmière, ce monde est un terrain où tout les habitants, elle même y comprit, son des expériences, des cobayes pouvant être utilisés pour rechercher tel ou tel chose. Bref, c'est avec ce même sourire amical que Médusa accueillit le jeune malade.

* Encore un de ces gosses qui se dit malade pour sécher les cours de Stein-sensei ... *

- Je vois.

Bon, après tout, il n'allait pas tarder à être reprit par le docteur Stein, du moins, c'est ce que pensait l'infirmière, qui était déjà ennuyée par le fait qu'il y avait quelqu'un dans cette même pièce. Oui, elle jouait un double-jeu parfait, sans aucune faille: Elle ressemblait plus à une humaine qu'une sorcière, et ça l'arrangeait. De cette façon, elle n'avait pas trop de problèmes avec le reste du personnel de l'école, qui ne semblaient même pas se douter de sa vraie identité.

- C'est pas un prétexte pour sécher les cours, j'espère?

Atios aimait que deux chose dans la vie. La bouffe, et le sommeil. Après, dans ses loisirs, il y avait les mangas, les jeuxvidéo, les films, les bouquins d'heroic-fantasy... mais pas les devoirs. D'ailleurs, il n'avait pas fait une seule fois un exo del 'année et c'était bien comme ca, à ses yeux. Atios était un homme : Quand il fallait se magner la rondelle, sortir le doigt du cul, et réussir et assurer, il assurer... mais le reste du temps, il en foutait pas une. Un problème s'imposait. Il fallait qu'il aille chasser quelque mauvais humain, histoire de pouvoir sécher quelque cours en plus pour une bonne raison. De toute façon, il fallait qu'il devienne fort en peu de temps, parce qu'il avait le préssentiment du fénéant : Il aurait surement à se bouger le cul, pour une quelquonque raison de danger du monde, de démons géantissime, ou pour sauver ses potos. C'était classe de se battre comme dans ses jeux et les mangas. Dommage que les persona n'existait pas, c'était con. Enfin, au moins, les démons weapon existait. Il avait pris goût à sa vie d'aventure et de défense du monde. Il aimait bien se battre, tant qu'il pouvait le moins en faire pendant la bataille. La philosophie du fénéant. C'était sa philosophie. Le faire rater l'heure de la sieste pourrait être dangeureux. Lui faire rater l'heure de la rediffusion du premier épisode d'Haruhi aussi. On arrêtais pas Atios facilement. La seule personne qu'il craignait c'était Stein, ce foutu cancrelat de prof. Il était capable de l'inciser juste pour lui faire peur... et ca marchait. Il avait vu, une fois, en train de raser le corps d'un oiseau en voie d'extinction pour lui faire l'incision et regarder l'intérieur de son bide. Atios en s'immaginant la scène manqua réellement de vomir.

Mais Stein était le manieur le plus fort de Shibusen, raison de plus pour l'avoir à la bonne et donc pouvoir apprendre quelque truc utile. Atios n'était pas faible, ni fort. Son défaut, il le connaissait mais s'en était accoutumer. Jusqu'à maintenant, personne n'avait réussi à le rendre sérieux dans un combat. Peut-être parce qu'il n'avait jamais vraiment affronter de situation critique. Jamais le visage d'Atios avait était sérieux. Atios se doutait qu'il devrait, un jour où l'autre abbandonnait le masque du garçon jamais sérieux et sûr de lui pour devenir responsable. Mais tant qu'il n'avait pas à le faire, il fallait qu'il profite non? On n'as qu'une jeunesse. Qu'un temps pour goûter les plaisirs en solitaire pour foutre ca sur le dos de la vie, qu'une jeunesse pour sécher, qu'une jeunesse pour faire le faux malade. On n'avait qu'une jeunesse, qu'une seule, après la vie serait celle d'un adulte, trop sérieuse et loin de tout plaisir excitant de la vie d'un ado. Il aimerait bien ne plus grandir et rester à cette âge toute sa vie. Pas qu'il craignait mourrir, c'était juste qu'il fuiyait les adultes.. ces dernier n'avait aucun respect pour un ado. Ils n'étaient plus des bébés, il méritait le respect aussi. Surtout que Shibusen était là pour les éduquer, et pas les écarter du mauvais chemin. Et pourtant, beaucoup des membres du personel les prennaient pour des gosses. C'était pour cette raison qu'Atios n'écoutait pas les sermons, pour ca qu'il voulait être libre. Sans parent, vivant seul et loin de toute régle, il se fichait de sécher. Pour disséquer encore un truc ? C'était pas la peine.

<< J'ai l'impression qu'elle soupsconne quelque chose. De toute façon, je me fou, j'suis plus à un sermon près. >>

D'un regard leger, il matta le visage de l'infirmière et sa poitrine presque plate qui lui rappella la platitude des filles du coins. Atios sembla presque être décu. Dans GTO, Nao avait des obus de la seconde guerre mondiale, et fallait qu'il embauche une planche à pain à Shibusen. Ca lui tapait sur les nerfs. Sa vie manquait d'Action. On le forcait à arrêter de fénéanter, pour lui faire faire des choses chiantes. Atios soupira réellement cette fois. A la question de l'infirmière, Atios pris un air très provocateur et perdu sa teinte blanche avant de dire sur un ton tout aussi provocateur que son regard de défi :

- Si, en fait j'suis là , en train de squatter,car j'pense que le cours de Stein-sensei sert à que dalle, il me fait chier à toujours faire des dissections. J'suis pas là pour dissequer des animeaux, et même encore, j'sais même pas c'que j'fou là. Tiens, d'ailleurs vous avez les repas de ce midi proposé à la cantoche? Ah au fait, j'oubliais, vous saviez que y avait des trucs pour rembourrer les soutifs? Parce que là, z'avez des salsifis.

- Mmh ...

Extérieurement, l'infirmière souriait toujours, les yeux fermés. Cependant, intérieurement... De quel droit est-ce que ce gosse se permettait ce genre de commentaires désobligeants?! Non mais quel enfant énervant. Mais ... Il fallait garder son calme ... Dégager un "aura" autre que celui d'un humain pourrait être une grave erreur. Elle gardait donc un air le plus humain et le plus amical possible, sans oublier que son âme était complètement humaine, elle aussi. Médusa appuya son coude sur l'accotoir de la chaise sur laquelle elle était assise, puis, plaçant son idex sur sa joue, elle regardait le garçon.

Après tout, elle était là pour aider les élèves blessés et les soigner, et non pour rembourrer son soutif ... Et rien que l'idée de faire ça dégoutait Médusa, qui était toujours intérieurement énervée, et prise d'une envie d'homicide, bien qu'elle le cachait très bien. Il y avait bien plus énervant que ce gosse dans cette école, donc encore là, elle pouvait se contrôler. Plus énervant que lui? Death Scythe. Ou encore le prof de cet enfant, qui lui aussi, fourrait un peu trop son nez dans les affaires de l'infirmière à son goût.

- Il semblerait qu'il n'ait que toi que ça dérange.

Les commentaires comme celui qu'Atios venait de faire étaient unique en leur genre, c'est vrai. Ici, à Shibusen, Médusa était plutôt respectée. Dans une école comme Shibusen, passer une journée sans infirmière est une chose inimaginable. Les élèves étaient souvent blessés, donc devaient venir à l'infirmerie. Si l'infirmière n'est pas là, ou s'il n'en a pas, ils vont être mal pris ... Surtout si le Docteur Stein débarque alors qu'ils viennent que pour sécher les cours. On se demande pourquoi ils sont si souvent blessés ... Peut-être que leur fou de prof y est pour quelque chose.

* Les dissections peuvent être intéressantes, pourtant. *

- Hu, vous inquietez pas. J'vais pas rester ici trops longtemps. Stein-sensei finira par se ramener, et vous devriez l'allecher assez longtemps pour que je puisse décamper dit Atios en la regardant d'un air très provocateur. D'ailleurs, si y à bien un truc que j'veux dissquer, c'est l'crâne de Stein-sensei, faut dire aussi qu'il à une vis dedans, ca augmente donc l'intêret. Roh lalah, j'éspère qu'ils vont vite livrer mes commande Mouéh. Tiens, vous faite quoi en dehors de l'école ? Hey, j'sais, j'vais lancer une rumeur sur vous & Stein-sensei. Ca sera fun. "Y parait que Stein-sensei et Médusa-sensei font des trucs ensemble après les cours... ouai, d'ailleurs y parait que la visse dans la tête de Stein-sensei sert de jouet pour Médusa-sensei" disait Atios, cherchant purement à provoquer l'infirmière. Qu'était une école sans rumeur? Médusa était en proie au rumeur des élèves qui disait passé des quart d'heure coquin avec elle à l'infirmerie. Alalalah, qu'elle bande de looser quand même. Il se blesse eux-même pour venir vous voir en disant qu'ils se sont bléssé. Ah au fait, ca vous dit de faire un pari? Sur ce que vous voullez. Si vous gagnez, j'fais ce que vous voulez, si j'gagne, vous me payez un resto'. Atios lui sourit. Pile ou face? finit par conclure Atios.

Atios s'assit sur le lit d'infirmerie, desserra un peu sa cravate rouge et le noeu de sa cape noir, qui était tout deux, à son goût, trop serrer. Il s'était lever en retard et n'avait rien bouffer, ce qui le méttait dans une humeur très mauvaise, qui était le soucis de Médusa en ce moment. Hier soir, il avait mis de la musique jusqu'à minuit et s'était engeuler avec les voisins. De ce fait, il était plus fatigué et était affamé. Et puis, si on oubliait sa poitrine, l'infirmière était plutôt jolie. Fallait devenir plus sociale, car le coup de pile ou face serait peut-être trop simple pour cette chère infirmière... m'enfin bon. Atios lanca la pièce dans les airs.

- J'prend face.

hj: à toi de choisir le résultat ^^

[HJ: Entendu.*Demande à un parfait inconnu de choisir à sa place.*]

- Ce que je fais en dehors de cette école ne te regarde pas., répondit Médusa au jeune homme, qui lui avait demandé ses occupations en dehors de l'école.

Effectivement, elle n'allait pas le lui dire, de toute façon, en quoi ça regardait ce gosse?! Si jamais elle faisait la grossière erreur de glisser ne serait-ce qu'un mot sur ses occupations hors de cette école, elle allait se faire griller, et elle pouvait dire adieu à ses plans. " Je dois tout essayer par moi même" était la devise de la jeune femme, qui aurait très bien pu envoyer un de ses sbires, Eruka Frog par exemple, à Shibusen à sa place. Mais à bien y réfléchir, ça aurait été beaucoup moins "amusant", elle n'aurait pas pu voir leur visages passer d'un air heureux à complètement appeuré.

- Pile. Si je gagne ... T'as pas intérêt à diffuser cette fausse rumeur.

* Non mais, et puis quoi encore?! Cette rumeur ... Est stupide. *

Le garçon semblait vraiment avoir réussit à provoquer l'infirmière, puisqu'elle en avait perdu son sourire, et avait froncé les sourcils. Ces rumeurs ne lui plaisaient absolument pas, il faut dire, le simple fait que les élèves puissent penser et dire de telles chose d'elle la dégoutait. Oui, l'envie d'homicide montait en elle, mais elle gardait son calme. Avec ses pieds, elle poussa sur son bureau pour se donner un élan, et roula avec sa chaise jusqu'au petit lit. Ce n'était effectivement pas le genre de chose qu'elle faisait habituellement, mais là, c'était différent ... Elle était énervée, et ferait tout pour gagner. Toujours appuyée contre son index, l'infirmière regardait la pièce monter dans les airs, puis retomber dans la paume du garçon. Pile. Médusa souria. Elle avait gagné. Peut-être avait-elle triché? Enfin, comme elle n'avait pas bougé, c'était presque impossible.

- J'ai gagné., annonça l'infirmière locale, Médusa, avec toujours ce même petit sourire. Je te dois pas de resto'.

* Et par la même occasion, ce gosse diffusera pas cette rumeur ... Quoi qu'il est tellement chiant qu'il pourrait le faire quand même.*

L'infirmière se retourna, s'éloignant un peu du lit pour faire face au bureau.

- Quelque chose de condamnable alors, si vous ne voulez pas le dire ? dit Atios en la regardant et en lui tirant la langue. Après tout, il était suspect qu'elle ne dise rien. Peut-être que vous ête une perverse qui suit les élèves de Shibusen? Une voleuse de minishort? Renchéra t'il, fier de lui d'être lourd envers l'infirmière. Après tout, Atios n'aimait pas trop l'infirmière. Trop mystérieuse sur elle-même après tout. Au fait, j'me demandais... pourquoi avoir postuler pour être infirmière? dit Atios, redevenu neutre et inexpressif, froid comme la glace dans son inexpression.

Après tout, Atios s'attendant à la réponse, il mit sur ses oreilles ses écouteur et lanca la musique. La lueur bleu verte s'affichant alors laissa place à un titre. "Beautiful world - Utada Hikaru". Devenir fort hein? Atios en profita pour réfléchir. Il était plutôt faible. Pas trop mauvais, mais pas fort. Des noms s'imposait sur le panthéon des meilleurs élèves de Shibusen : Maka Albarn & Soul Eater Evans. Le prétentieux Black Star & dénomée Tusbaki. Le fils de Shinigami-sama, Death the kidd, et les soeurs thompson. Atios, savait que l'écart entre eux et lui, était... immense. Le plus difficile à croire était que Black Star, soit plus fort que lui, car Atios l'avait vu se pavanée de loin, le jours de la rentrée à Shibusen. Peut-être devait-il esseyer de les rattraper? Mais c'était chiant. Mais il ne voulait pas non plus passer pour un glandu du slip. Atios aimerai briller lui aussi un peu, mais pour l'instant, il s'était tellement mis à rien faire qu'il était vraiment devenu faible. Qui sait ce qui pouvait arriver ? Peut-être aurait-il à combattre de façon "obligatoire" pour le compte de Shinigami-sama? Cette éventualité était malheureusement probable. Et cette fois-là, feignant ou pas, sa vie risquait d'être en danger. Finalement, il devait s'entrainer activement... ca le faisait largement chier, son humeur en avait pris un coup mais bon.

- Okay, j'la diffuserais pas. dit Atios en lui souriant.

<< Tout du moins, uniquement celle là, muhuhu >>

- Bipbip!! 1-0 Médusa-sensei! Dit il en lui retirant la langue.

Atios vu qu'il avait réussi à enerver l'infirmière. Ca le fit jubiler largement. Il avait deviné que la très respectée infirmière ne supporterai pas qu'Atios sous-entende ce genre de rumeur. Mais pour une infirmière, elle connaissait mal les jeunes. A cette âge là, les blagues grasses, les interdis, tout ca ne vaut plus rien. Ils deviennent des adultes et donc, pour leurs plaisir solitaire on besoin de se stimuler. Atios se mordit la langue quand l'infirmière s'approcha de lui, et put légèrement matée de plus près. Une seconde Atios se sentit mal à l'aise, comme un parfum d'envie de meutre, mais ce fugitif parfum disparu. Il avait juste était supris, pas effreyé.

- Roh, dommage. La prochaine fois alors... dit-il en lui souriant. Atios se leva alors et dit, soudainement, sur un ton sérieux : Vu que vous ête à Shibusen... peut-être savez vous comment devenir fort?

* Il a vraiment une imagination débordante. *, se contenta-t-elle de penser en entendant les propositions sans queue ni tête du garçon. Une stalker? Une voleuse? Non mais à quoi pensait-il?! C'était n'importe quoi!

- Si je suis devenue infirmière, c'est parce que ça m'intéressait. *~Smile~*

Écoutant en souriant ce que le garçon avait à dire, jusqu'à ce qu'il ne lui demande comment devenir fort. N'était-ce pas, après tout, le but de tout les élèves de cette école?

- Mmh ...

Certes, en tant que sorcière, elle pourrait le rendre fort, mais Médusa ignorait si ce gosse avait assez de potentiel pour faire l'affaire. Si il était inutile, elle devrait s'en débarrasser, et ça, les professeurs de l'école voir les élèves s'en rendraient compte. L'infirmière gardait toujours ce même sourire, bien que son regard sérieux était posé sur les feuilles placées sur son bureau. Feuilletant à une vitesse normale les feuilles d'un tas de paperasse, elle regardait les profils des élèves, à la recherche de celui de ce garçon, qu'elle trouva facilement. Kureno Atios-kun, 14 ans et demi, Manieur sans arme, n'aimant pas particulièrement ses cours, et encore moins ceux de Stein-sensei, d'après les dires du jeune homme ... Il faut dire que l'infirmière avait bien envie d'ajouter les mentions "PERVERS" ainsi que "SALE MORVEUX CHIANT", mais bien que la tentation était forte, elle ne le faisait pas. Elle refit pivoter sa chaise, une de ces chaises sur lesquelles le Docteur Stein adorait tant faire le pitre, même si il finissait toujours par se casser la gueule en essayant de sortir de l'infirmerie avec... Enfin, tant mieux, puisque ces chaises font quand même partit du cabinet médical de Shibusen.

- Trouves-toi un partenaire et t'entraîner, mais ça, je pense que tu le fais déjà, n'est-ce pas? D'après cette fiche, tu n'as pas encore de partenaire, mais elle pourrait très bien ne pas avoir été mise à jour.

Remettant le profil du jeune garçon sur le bureau, l'infirmière continua, après une petite pause:

- Les cours de Stein-sensei sont là pour ça. Pour t'aider à t'améliorer. Cette école a comme but d'entraîner des manieurs et des armes, donc c'est normal. Si tu veux vraiment devenir si fort ...

Elle fit une pause, le temps de garder un petit suspense, et le temps d'incliner légèrement la tête vers la droite, en fermant les yeux et en souriant, pose qu'elle garda que très peu de temps.

- Demande des cours privés à Stein-sensei. Je suis certaine qu'il voudra bien t'aider.

- Je le savais. M'enfin le miens n'est pas à voir. J'connais quelque fille qui veulent savoir leurs mensuration, j'peut vous les amener si vous voulez. dit Atios en souriant de façon provocatrice par pur jeu. En effet, Atios jouait avec l'infirmière, Médusa-sensei avec ce qui semblait être un sujet tabou chez elle. Elle aurait pu faire une none se disait Atios, mais moi narrateur je peut confirmer que c'est faux, ou alors dans un culte satanique, vu qu'elle allait les trahir *se fait frapper* Quoi, j'suis un narrateur Omniscient! *des voix crient "Arrête de spoil et rp, con***!!". Revenons en donc à Atios, qui souriait d'un air satisfait devant ses réflexion. Atios repris son air penseur et inexpressif.

Assurément, c'était le bût de chacun ici. Lui, il n'avait pas choisis. C'était soit ca, soit vivre dans un internat. C'était mieux de vivre ici que dans l'internat. De toute façon... Atios préferait vivre une vie d'aventure qu'une vie normal. M'enfin vu le nombre de Démon weapon qu'il avait utiliser une journée avant de changer... Atios était un cas comme ca. Il ne supportait que les armes tranchantes. Deplus, son caractère faisait fuir les demons weapon de type epée. Il avait déjà donc manier plusisuers démon weapon, sans succès. Ca faisait déjà quatre ans et demi.

- Papa? disait une voix de garçon agée de dix.

- Tu l'as tuer.... tu me la pris... rend-là! REND LA!! criait une voix dur et presque folle.

Et c'est là que la forme d'une chose vaguement humaine se jeta sur lui. In extremis, Atios esquiva et planta la dague au coeur de la forme qui s'écroula. Tout le sang. Tout ce sang. Il était recouvert du sang de la forme. Atios cligna des yeux à ce souvenir douloureux. Si douloureux. Mais dans son souvenir, la forme n'était plus humaine. Avait-il donc commis un crime? Atios ne le saura. C'est alors que du dossier d'Atios s'echappa une feuille complémentaire. "Faiblaisse mentale". "Dédoublement de personalité". "Aggressivité liée au traumatisme psychologique". "Dangeureux". Ces mots frappait les yeux de celui qui lisait le dossier. Atios avait un passé trouble. Son souvenir, était floue, et cela lui faisait mal à la tête. Il arrêta sa torture mentale après quelque goutte de sueur sortant de son front, et l'image, le souvenir s'échappa loin de son contrôle, partant hors des synaspes, pour flotter tel un fantôme du passé qui n'aurait pas trouver le repos.

- J'ai trouvé une partenaire, néanmoins, elle n'est toujours pas venu chez moi. J'ésprèe qu'elle sera bien foutu dit Atios en souriant. M'enfin, c'est ce que j'allais faire, s'il ne m'incise pas pour m'éviscerer. Quant à m'entrainer.. j'vois pas à quoi. J'arriverai sûrement à jamais à discener une âme d'une autre, je sais même pas comment on s'y prend pour voir une âme alors bon...

Tapant une fois dans ses mains silencieusement, Médusa souriait toujours.

- Allez, tu y arriveras.

Inutile de préciser qu'elle avait ignoré ce qu'Atios avait précédemment dit à propos des jeunes filles et de leurs mensurations. En tant qu'infirmière scolaire, ça faisait partit de son travail, mais ce garçon essayait seulement de la provoquer. Après tout, avec ce genre de personne, ce n'est rien de bien étonnant. Elle en avait vu d'autres, des personnes chiantes et voulant se mêler de sa vie privée, qu'elle refusait de dévoiler, même si elle va bien finir par le faire, que ce soit par obligation ou par accident.

- De toute façon, il y a bien des manieurs qui n'y arrivent pas. Ça vient avec la pratique.

Éviscérer un élève ... Il a vraiment une imagination débordante ... Quoi que, ça pourrait être intéressant à regarder, voir même à faire. Ces sales gosses ne méritent pas mieux, même si ils ne méritent pas que l'infirmière se salisse les mains sur eux. Ceci dit, pour comprendre la mentalité des élèves de cet école, ce garçon n'était pas le sujet parfait: Il est plutôt énervant, il semble en avoir rien à foutre des autres, il est flemmard, il ne va pas en cours ... Ce Atios était vraiment le mauvais cobaye. Il essayait simplement d'énerver l'infirmière, et puisqu'elle était plutôt colérique, il avait marché. Cependant, en aucun cas elle n'avait laissé échapper un mot, ou un signe, pouvant prouver sa vraie nature. Son âme avait tout d'une âme humaine, et même un Meyster pouvant arriver à voir son âme ne verrait que quelque chose d'humain.

[Je m'incruste, gomen XD Dites si je dérange.~]

Quelques minutes avant qu'il arrive devant, cette porte. La porte de l'infirmerie. Kidd avait pêté une crise. En classe, quelqu'un avait détruit un objet de perfection. Cette objet était la symétrie parfaite. Quand un bout de cette chose fut cassé, ça l'avait mit Kidd hors de lui. Des larmes coulaient sur ses joues. Il pleurait comme d'habitude dans quelque chose de sublime se détruisait sous ses yeux. Juste à y penser, ça le mettait fou de rage. Son professeur l'avait, ensuite, envoyé à l'infirmerie pour qu'il se calme un peu. Restera à voir si ça marchera vraiment. C'était une infirmière, pas une psychologue tout de même. Le jeune garçon frappa à la porte qui était fermé. De l'intérieur, on se doutait déjà qu'il y avait déjà plus qu'une personne dedans. Après avoir eu la permission d'entré, le fils de Shinigami-Sama entra dans la pièce. Kidd avait l'air déprimé. Triste de se qui venait de se produire.

- On m'a dit de venir ici.

Death The Kidd n'avait dit que ça pour commencer. Maintenant, il inspectait la salle, espèrant de tomber sur un objet quelconque symétrique. Il s'approcha d'un tableau, sans importance et le replaça pour qu'il soit mieux centré et plus dans la symétrie qu'il espèrait créer.

- On me trouve trop maniaque de la symétrie mais je refuse d'avouer une chose si invraissemblable.

Il se plaça ensuite devant la jeune infirmière. Il remarqua alors, un autre garçon. Kidd ne l'avait pas vu à son arrivé ce qui prouve qu'il est parfois dans la lune absorbé par la perfection de la symétrie. C'est, en quelque sorte, une passion pour lui mais qui se transforme souvent en obsession.

- Madame, vous n'êtes pas totalement symétrique, vous savez? Votre poitrine n'est pas exactement proportionnel.

Il mit sa main sur la poitrine de Médusa vérifiant si se qu'il disait était exactement vrai. C'est se qu'il croyait, 0.01mm de différence. Ce qui venait de se passer pouvait faire de lui, un pervers et un con finit. En effet, il est parfois assez idiot et dans ses cas là, il se reçoit, toujours, un poingt en pleine tranche.

- T'sais qu't'est gonflé pour dire ca alors que tout, sauf tes bandes blanches sont pas symétrique sur toi? dit Atios en lui tirant la langue. M'enfin, t'as raison, elle à pas l'air symétrique sa poitrine. dit Atios en imitant Kidd the death. Non, t'as raison, pas symétrique, en même temps, elle s'en approche vu qu'elle à rien ! dit Atios, en tirant la langue. Atios suivait Kidd dans sa reflexion, oubliant carrément que ce qu'il faisait lui valerait une sanction physique ou scolaire. Ainsi, il tripotait médusa chacun d'un coté en cherchant à savoir si sa poitrine était symètrique, ou non.

- Kureno Atios, enchanté, fier défenseur de la perfection symètrique.dit Atios en serrant l'autre main libre de Kidd.

Atios aimait bien la tête de Kidd the death, bien qu'il ne savait qui il était. Quant il l'avait vu entrée, ce garçon avait l'air déprimée, triste, comme si la vie avait perdu toute saveur. Pour quelqu'un qui avait subis la mort, il était plus simple de vivre pleinement, et donc, Atios, qui avait subis et donner la mort pour se défendre, connaissait les deux. Alors être triste pour la non-symétrie, Atios ne comprenait pas. Même si la symétrie mammaire de Médusa était un sujet fortementi ntéressant pour les deux compères. Atios l'avait vu avec amusement recadrer le tableau pour qu'il soit parralèle au plafond au sol. M'enfin, Atios était encouragée par la déclaration de Médusa, quant au fait qu'un jour il pourrait y arriver.

HS: pas d'inspiration, désolé vous deux.

- ...

À peine qu'un nouvel élève venait d'entrer dans l'infirmerie en disant être trop maniaque de la symétrie, qu'il avait mit sa main sur la poitrine de l'infirmière en déclarant qu'elle n'était pas totalement symétrique. Par la suite, Atios s'y mit lui aussi. L'air vachement énervé, au point où elle avait presque laisser dégager une aura meurtrière, qu'elle retenu au dernier moment, l'infirmière repoussa brusquement les mains des deux garçons. Non mais, sérieusement, c'était pas son jour de chance, aujourd'hui. Ces deux mecs étaient gravement atteints, surtout ce mec aux cheveux noirs. Oui, Médusa avait entendu parler de lui, comme tout le personnel de l'école : Kiddo-kun, le fils de Shinigami-sama. Elle se leva finalement, en soupirant, puis se dirigea vers la sortie.

- Je reviens.

Elle poussa la porte, qu'elle referma aussitôt. Violemment, elle mit sa main sur son front, en poussant un autre grand soupire d'exaspération. Médusa s'était éloignée un peu du cabinet médical, pour pas que les deux énergumènes de manieurs décident de l'espionner. Ces garçons avaient vraiment rien de mieux à faire que l'emmerder?

* Qu'est-ce que le fils de Shinigami-sama fout ici?! Mais il est énervant ... Non, ils sont énervant ... Je vois pas où est le problème au fait que ma poitrine n'est pas symétrique ... Surtout que ça se voit même pas. Et merde ... Si ils n'étaient pas si bruyants, je les aurais déjà tué ... *

Dès que Médusa sortit de la pièce, Kidd était déjà agenouillé sur le sol frappant celui-ci avec ça main et pleurnichant bêtement. La remarque que lui avait fait Atios l'avait bouleversé, on peut dire. Il le savait bien ... IL N'EST PAS SYMÉTRIQUE mais il n'était pas obligé de lui faire remarquer encore une fois son côté gauche des cheveux lignés blancs contrairement à l'autre qui était totalement noir. C'est cela qui le rendait si ... asymétrique. Il n'était pas d'accord avec Atios. Ce n'était pas de ça faute de ne pas être dans les critères de la perfection. Tout ça le rendait plutôt malheureux. Pourquoi n'était-il pas comme il le souhaitait tant!? Il devrait rester comme ça toujours? Il devait vivre avec cette asymétrie tant qu'il ne serait pas mort et ça, il le savait bien.

- Je suis pas symétrique! Je le sais bien! Je me dégoute moi-même, alors arrêtez!

Après quelques minutes de panique, le jeune garçon se reprit. Il se releva noblement. Il attendait maintenant l'infirmière Médusa pour lui expliquer se qui ne tournait pas rond chez lui d'après les professeurs. Ceux-ci le trouvait ... maniaque de la symétrie ce que Kidd ne voulait pas avouer. Il était tout à fait normal mais en plus, il connaissait l'art de la symétrie. C'est tout. La symétrie était son art. Son art à lui seul. Bien sûr, qui serait assez fou pour devenir accro à ça apart lui? Personne. Médusa n'était toujours pas revenue. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien fabriquer? Ça devenait long. Pour Kidd s'était le moment unique de tout ranger. Il commença à placer l'infirmerie telle son art le dictait. Pousser un lit par là, l'autre ici, remettre le divan là, recadré le tableau, ajouter quelques bougies d'ambiance et autres choses. Lorsque Médusa entrerait dans cette pièce, elle verrait tout ça ... changer. Un monde de symétrie souffrirait enfin à elle et à tous les malades, telle les critères de la perfection de Kidd.

Atios regarda Kidd the death.... il l'avait reconnu, en vue de sa réaction. Alors que Médusa-sensei était partie de la pièce, Kidd s'était déjà agenouillé par terre, sur le sol, frappant ce dernier avec sa main en pleurnichant bêtement, alors qu'Atios sut ce qu'il avait mis dans cette état là : Sa remarque sur l'Asymétrie du pauvre Kidd. Atios ne l'aurait pas dit si Atios avait reconnu plus tôt Kidd the death, le fils de Shinigami-sama. Atios se sentait coupable pour lui, et lui tapa sur l'épaule pour le réconforter. Ce n'était bien entendu la faute de personne, cette Asymétrie capillaire... Atios pris de pitier, attrapa Kidd, l'assit sur une chaise et sortie du placard un pot de peinture blanc & des pinceaux. Atios se mit alors à l 'oeuvre, le mettant devant le mirroir. Après moult effort, Atios avait réussi à rendre quasi-symétrique les fausses lignes blanche sur les cheveux de Kidd.

- Pourquoi j'arrêterais maintenant alors que je t'ai rendu quasi-symétrique?~~ dit Atios en donnant la touche finale de peinture.

Kidd se releva noblement, et Atios le mit devant le mirroir. Il semblait que Kidd attendait Médusa-sensei. Atios regardait avec intêret la figure de Kidd qui semblait penser des tas de chose, sur la symétrie surement, avec un air de frustré. Atios le vit se lever, d'un air conspirateur, et se mit à rendre symétrique l'endroit... Atios, ne sachant pas quoi faire, il l'aida à porter les affaires pour rendre symétrique l'infirmerie. Mais Atios remarqua alors que... LA PEINTURE AVAIT DISPARU!!

- MURI! MURI! MURI MURI MURI!! dit Atios en pointant la tête de Kidd avec un air éffaré, qui disait "Va de retro, satanas!"

Après un moment à réfléchir hors de la salle, l'infirmière prit une grande inspiration. La porte de l'infirmerie s'ouvrit finalement, pour laisser montrer une Médusa plutôt surprise. Elle les avait à peine laisser seuls pendant cinq minutes, et le bordel était déjà mit. Les lits étaient déplacés, les chaises remises ailleurs, le bureau avait été placé de manière à ce qu'il soit parfaitement au milieux, les papiers posés dessus avaient été déplacés, et j'en passe. Encore heureux que Kidd et Atios n'avaient pas encore eu le temps de reclasser les papiers dans son classeur.

- ... Finalement, ton professeur avait pas tord.

Médusa s'approcha des deux garçons, puis, les attrapant par le col, elle les traîna jusqu'en dehors de la salle. Une fois qu'ils étaient dehors, elle les relâcha. Poussant un autre soupire, Elle réfléchissait à ce qu'elle allait bien pouvoir faire pour arranger tout cela. Cette obsession pour la symétrie ne pouvait être que du à un Trouble Obsessionnel Compulsif. Un TOC d'ordre pour être précise : Une personne atteinte d'un TOC d'ordre est obsédée par le rangement, l'ordre et la symétrie, ce qui est parfaitement le cas de Kidd. Traitement? Il avait absolument besoin d'une Psychothérapie cognitivo-comportementale, thérapie prouvée comme étant la plus éfficace contre un TOC, mais disons que Médusa n'était pas d'humeur pour l'aider aujourd'hui ... Il n'avait qu'à pas foutre le bordel dans son lieu de travail.

- Tu es vraiment atteint d'un Trouble Obsessionnel Compulsif.

Elle parcouru la pièce du regard encore un moment, avant de se retourner vers les deux garçons. Croisant les bras, l'infirmière les regardait, l'air plutôt énervée.

- Vous avez intérêt à retourner en cours, sinon je vais me sentir dans l'obligation de reporter ce que vous venez de faire.

Laissant la porte ouverte, histoire de pouvoir vérifier si ces deux là allaient retourner en cours, elle retourna à l'intérieur de la salle, s'asseyant sur la première chaise qu'elle trouvait. Elle la fit rouler jusqu'au bureau, puis, une fois devant, commença à reclasser les papiers y étant posés. Apparemment, les deux élèves n'en avaient prit aucun, c'était déjà ça.

Lorsque Médusa entra, elle n'avait pas l'air trop trop contente de son nouveau décor que les deux jeunes garçons venaient de produire. Pourtant, Kidd était très fier d'avoir mit tous les critères de la perfection à cette endroit qui paraissait, auparavant, si moche aux yeux de Kidd. Tout ce qui n'est pas symétrique ne sera tout simplement jamais parfait pensait-il. Médusa n'avait pas de goût si elle n'aimait pas son nouveau décor. La parfection, personne ne pouvait détester, pas vrai? Un peu après, elle fit la remarque que les profs de Kidd avaient raison. Le jeune garçon était-il vraiment parano de la symétrie? Kidd refusa de l'admettre.

- Vous vous tromper. Je ne suis pas maniaque de la symétrie. Ce n'est que mon art. Si vous n'aimez pas cette perfection, c'est votre choix, madame.

Il ne voulait pas être un maniaque comme le disait tout le monde. Il voulait être normal et pensait qu'il l'était mais s'en trompait totalement. Médusa regardait les deux garçons avec un air voulant dire: "Partez, je me fou de vous". Non, ça ne pouvait pas être possible. Habituellement, les infirmières sont attentionnés et gentilles. Médusa n'était peut-être pas dans cette catégorie ... Quelque minute après, celle-ci disa à Kidd de quoi, celui-ci était atteint.

- Vous êtes sérieuse? Je crois que vous vous êtes trompé. C'est tout simplement impossible.

Il ne pouvait pas croire à cela. Atteint d'un trouble obsessionnel compulsif, ce n'était pas du tout lui. Pour ça il devrait être maniaque de quelque chose. Le jeune Shinigami ne voulait pas admettre son obsession par la symétrie. Il faisait donc, comme s'il ne savait rien. L'infirmière leur demanda donc de retourner en cours. Elle n'avait même pas prit le temps de soigner Kidd. Il ne pouvait pas retourner en cours comme ça. Qu'est-ce qu'il dirait à ses professeurs? Il demanda quelque chose de simple à Médusa, parlant noblement.

- Vous ne me soigné pas? Je serai bien obligé de revenir si un autre de mes professeurs m'envoit ici. Pourquoi ne pas le faire maintenant?

Atios lui se marrait bien de voir la tête de Médusa, pas trop moche, en train de se demander quoi, avec un air si surpris qu'Atios en éclata une seconde fois de rire. Alors que Médusa était partie, et Kidd trop occuper à ranger de façon symétrique la pièce, Atios avait fouiller dans les armoires à médocs et avait "pécho" comme dirait certaines personnes de son âge, des médicaments qu'il n'avait encore jamais vu en pharmacie, sans étiquette, et avait tout ranger ca dans ses poches. Kidd avait était tellement occupé par son obsession qu'il n'avait rien remarquer & Médusa était dehors. Atios avait toujours besoin de médoc en plus, et Atios ne se doutait pas que Médusa avait ses médicaments très propre à elle. "C'doit être un géllupranne tout simple" pensait-il. Et il se trompait. Il continua d'aider Kidd, et bientôt, toute la salle était parfaitement symètrique. Et c'est là que Médusa avec son air surpis arriva et le fit éclater de rire. Mais Médusa arriva et les pris par le col. Elle en avait de la force pour une simple infirmière?! Mais Atios ne dit rien, car elle lui permettait de se carapater avec son magot sans avoir l'air suspect. Atios, préféra regarder Kidd qui plaidait son "art", la symétrie. Il était vraiment Tocé, le fils de Shinigami-sama. Tant qu'il n'avait pas le gil de la tourrette~~.

- Kidd-kun, j'pense qu'elle est pas psychiatre, c'est pour ca.

hj: Panne d'inspi sur ce topic : /

- Ça fait effectivement partit de mon travail.

L'infirmière avait toujours la tête tournée vers ses papiers. Elle les remettait en ordre dans son classeur, chose qu'elle avait oublié de faire le matin même, avant qu'Atios débarque, suivit par Kidd. Médusa(-sama) n'avait même pas daigné tourner la tête vers les deux garçons qu'elle avait précédemment foutu dehors. Atios avait tord, aider les gens comme Kidd en tant que psychiatre faisait partit de son travail, mais aujourd'hui, disons qu'elle n'en avait pas envie. Il avait mit son infirmerie en "désordre", bien que la pièce était déjà plus ou moins symétrique, comme pratiquement tout le reste de l'école. La psychotérapie utilisée pour soigner un Trouble Obsessionnel Compulsif est, comme bien d'autres thérapies, plus longue qu'une seule séance.

- Mais comme ce n'est pas le genre de cas se soignant en une seule séance, cela peut attendre. Vous avez cour. J'ai bien peur qu'être là pour vous aider à sécher les cours n'est pas mon travail.

Si ces deux énergumènes pouvaient bien foutre le camps et aller emmerder quelqu'un d'autre, comme qui dirait, ça ne déplairait pas à Médusa, qui avait bien d'autres "chats" à fouetter. D'abord, continuer à bosser EN PAIX dans ses recherches ... Puis, lorsque son Shift à l'école sera terminé, elle devra aller voir Chrona. Ce gosse pouvait pas être laissé seul trop longtemps ... Comme tout ces élèves si faciles à manipuler. Sans ces professeurs leur servant de gardes du corps, ils seraient sûrement morts. Cela ne change pas le fait que ces professeurs ne sont pas très utile, puisqu'ils ne semblent pas s'être encore rendu compte qu'il y a bien des espions parmis eux.

Médusa avait bien l'air à se foutre de ses deux patients. Elle ne voulait décidément pas commencer la séance pour guérir Kidd trop vite. Le jeune garçon regardait Médusa ranger ses papiers. Un par si un par là. Finalement, tout n'était plus parfait. Kidd regardait tout ça avec un air complètement abattu. L'infirmière venait de gacher la symétrie de la pièce. Il n'était pas s'accord avec ça. Il regardait, désormais, autour de lui. Médusa était terriblement consacré sur ses papiers. Death The Kidd ne pu s'empêcher. Il s'avança tranquillement, ne faisant aucun bruit vers le bureau de Médusa pour replacer une feuille qui n'était pas correctement glissé avec les autres. Autrement dit, ce papier dépaçait de 1cm le reste du paquet. C'est alors qu'il allait les replacer mais en les touchant un peu, le paquet lui glissa des mains et tout les feuilles que Médusa venait si bien de ranger s'éparpillait désormais dans la pièce.

- Euh ... désolé. Je vais tout ranger. ^^''

C'est alors que Kidd prit feuille par feuille les mettants sous n'importe qu'elle ordre. La discrètion n'était absolument pas son fort à se qu'on pouvait en voir. Les feuilles ramassés, il s'avançait vers le bureau pour les reposer sur celui-ci en respectant la symétrie qu'il voulait créer quelques minutes plus tôt.

C'est dans ces genres de moment que Médusa avait envie de prendre une grande respiration, mais comme ça aurait fait trop louche, elle ne le fit pas. Elle fit quand même un grand sourire, puis, s'apprêtant à aller aider le garçon, il avait déjà terminé. Bon, tant pis, ça va lui éviter de perdre du temps pour rien. Elle détourna finalement la tête, pour regarder un peu l'état de son infirmerie. Bah, ça avait pas trop changé, puisqu'à part les lits et le bureau, les lampes et compagnie étaient placés symétriquement. Elle finit par apercevoir l'armoire à médicaments, ouverte. Dans son esprit, elle poussa presque un cri de victoire : Si il avait prit un des "flacons" plutôt dangereux, il pourrait en mourir, et ce ne serait pas mit sur le dos de l'infirmière, puisqu'elle ne lui avait absolument rien prescrit. En plus, elle avait un alibi : Elle n'a qu'a raconter qu'elle était allée aux toilettes, ou qu'elle était allée prendre l'air, et le tour est joué.

* Tient, tient, je me demande ce qu'ils ont volé ... *

"Bon, tant pis.", encore une fois. Dans ces armoires, il y avait n'importe quoi. Des médocs plutôt nuisible pour la survie des élèves, ou même, quelques calmants, somnifères ... Tous si pratique lorsque ces gosses sont trop énervant, elle leur en fait gober deux trois, en expliquant que ça va les aider, et le tour est joué. Il y a aussi des médicaments fait à partir d'herbe, fait maison. L'infirmière se retourna vers son bureau, observant rapidement le paquet de feuille que Kidd avait replacé. Prudente? Peut-être. Elle n'était pourtant pas nerveuse, loin de là, mais se méfiait quand même de ce fils de Shinigami. L'autre brun, par contre, elle s'en fichait un peu : Il avait l'air aussi idiot qu'il était flemmard (XD), en plus d'être très énervant et pervers ... Quelqu'un comme ça ne doit pas valoir beaucoup en combats, encore plus si il séche les cours.

Atios matta sa montre. Il pouvait toujours dire qu'il était en retard en cours. ... mais il regarda l'horloge au mur et se rendit compte qu'il s'était levé une heutre trop tôt! Se traitant de tête en l'air, il avanca dans les couloirs laissant Kidd & Médusa-sensei. Il devait devenir fort, à n'importe quel prix, même s'il devait se faire tabasser et disséquer par l'autre cintré de Stein. Quoi que non, il ne voulait pas se retrouver avec une vis ou un boulon quelque part dans le corps, juste pour voir si ca l'empêchait de faire tout ce qu'il pouvait faire. Néanmoins, si quelqu'un savait ce qu'il devait faire... c'était bien ce fou de Stein. Atios fouillait dans ses poches. Il avait une dizaine de pillules de couleur diffèrente.. enfin des gellules. Chacune d'entre elle pouvait-être du poison... il devait être prudent et allez voir son pote le pharmacien de Death City.

- J'y vais, j'ai cours d'ici une heure. Dit-il en s'éloignant vers les couloirs de Shibusen.

Kidd vu que Médusa avait remarqué l'armoire de médicament ouverte. Bien sûr, le fils de Shinigami-Sama était assez intelligent pour n'avoir rien prit qui pourrait le mettre en danger de mort ... Mais Atios, lui, avait prit quelques médicaments pour on ne sait trop quoi. Il remarqua alors un petit sourire s'affiché sur le visage de Médusa-sama qui parraissait un peu louche. Mais bon, peut-être lui était venue une idée pour mettre ses médicaments de façon symétrique, pensait-il. Kidd se retourna pour finalement voir Atios partir. Les cours devaient donc, recommencer bientôt et Kidd ne voulait pas être une nouvelle fois en retard.

- Madame, quel est la date où je devrai venir vous voir pour une première séance?

Ensuite qu'il est eu sa réponse à la question. Il reprit sa règle qu'il avait laissé sur un bureau lorsqu'il mesurait la poitrine de Médusa (xD) et toutes les autres choses en rapport avec la symétrie de la pièce. Ensuite, il repartit pour aller en cours, ne suivant pas Atios.

- Disons, dans deux jours.

Deux jours ... Courte durée, certes, mais au moins, elle aura la paix pour aujourd'hui et demain, c'est déjà mieux que rien ... Le garçon aux cheveux COMPLÈTEMENT ASYMÉTRIQUES reprit sa règle qu'il avait déposé sur le bureau de l'infirmière, puis emprunta la porte, refermant la porte derrière lui, et laissant donc l'infirmière seule. Ouais, L'autre énergumène était partit, lui aussi. Il n'y avait plus aucune présence dans le cabinet médical, plus aucune autre âme présente, sauf celle de Médusa, âme parfaitement humaine du au Soul Protecto. L'infirmière poussa donc un long soupire de soulagement, puis se leva de son siège, amenant avec elle les feuilles traînant sur le bureau.

Médusa se dirigea vers un classeur, qu'elle ouvrit, feuilletant les dossiers, un par un. Elle classa les papiers au bon endroit, puis referma le tiroir. Les dossiers étaient tous là, les deux garçons ne semblaient avoir rien volé, à part ces quelques médicaments ayant disparut. L'important restait ses fiches, qui contenaient souvent des informations importantes, sur la santé, mensuration (etc) des élèves de Shibusen, tout ceux étant là depuis quelques années, bien sûr, puisque ceux de cette année n'avaient pas encore été "victime" de la visite médicale annuelle. Il y avait aussi des dossiers détaillés sur toutes ses expériences, ou presque, ces dernières étant très bien cachés, et camouflés comme étant des dossiers tout à fait normaux aux yeux de tous.

L'infirmière blonde se dirigea finalement vers la fameuse armoire à médocs, regardant ce qu'il manquait. Pour elle, il était facile de deviner quel 'boîte' il avait ouvert: en temps normal, elle était la seule manipulant le contenu de cet armoire, et celui qui l'avait ouvert avait les doigts plus petits que les siens, puisqu'après tout, il reste un mineur. L'autre gamin était beaucoup trop occupé à rendre l'endroit symétrique pour avoir touché à quoi que ce soit là-dedans. Quelques gelules calmantes, somnifères, et d'autres beaucoup plus louche manquaient à l'appel ... Une des expériences de l'infirmière avait disparut, rien d'autre qu'un aphrodisiaque mit sous forme de gelule noire et blanche, reste à savoir pourquoi elle essayait ce genre de chose ... Pour passer le temps, peut-être. Il y avait aussi quelques autres capsules ayant disparut, dont une qui n'était nul autre qu'un médicament, lui aussi, fait maison, pour piéger les gens comme Atios ... Capsule provoquant une Gastro-entérite, à cause de nombreux virus tel l'escherichia Coli (Plus communément, Colibacille) présent dedans. Ces capsules servent pas à grand chose d'autre que jouer un bon tour aux élèves un peu trop fouineurs, puisque bon, je pense pas que Médusa ne prescrive une telle chose à ses patients. Elle remit finalement ses médicaments en ordre.

Un autre petit sourire, celui-ci, un peu plus cruel, se dessina sur les lèvres de l'infirmière, mais s'effaça aussitôt, précaution. Cet Atios allait passer un sale quart d'heure si il n'allait pas vérifier le genre de médicaments il avait prit, et encore, ce serait plutôt difficile à deviner, puisque la plupart étaient fait maisons, pendant les temps libres de l'infirmière, qui adorait passer son temps à expérimenter des choses, aussi minimes soient-elles.

- Fufufu ... Jeune imbécile ...